samedi 31 décembre 2016

Course du Paléotrail par Eric MAHLER (Décembre 2016)


Après une semaine (au moins) de temps ensoleillé, c'est dans la logique des choses que ce dimanche 18/12 soit nuageux et brouillardeux à souhait, avec un petit vent à vous glacer les os. Malgré cela, nous sommes 5 membres de l'AMCF (Valérie Lenne, Catherine Rapin, Muriel Mahler, Jean Pierre Le Bastard et moi) à avoir fait le déplacement à St Césaire, sur le Paléosite pour participer au trail nommé "Paléotrail". Nous avions tous opté pour le 14 km et donc nous nous sommes tous regroupés sur la ligne de départ pour une photo de famille (voir PJ).

Jean Pierre, tout comme le mari de Catherine, avait un coéquipier canin. La course étant ouverte à ce genre de duo dont une quinzaine était présente, la ligne de départ nous donnait l'impression de participer à une chasse à cours, et nous étions le gibier.

Après avoir slalomé entre les buffles, mammouth et autres tigres à dents de sabre pour récupérer notre dossard, lé départ nous délivre de l'attente et nous permet enfin de nous réchauffer.
Les premiers kilos sont monotones, du bitume, un peu de chemin, des vignes et une 1ère difficulté : un raidillon qui voit se former un bouchon car la montée est glissante. Puis une ballade entre St Césaire et ST Sauvant où l'on peut admirer le patrimoine et les lavoir du coin et apprécier le côté nature du parcours.

Pour ma part, les choses intéressantes commencent après le ravitaillement : beaucoup de monotraces, des montées assez raides, parfois même une corde est là pour nous aider à grimper, tous les terrains sont présents : du sec, du moins sec, du sable, de la boue, des pierres, des souches...

L'affluence de concurrents dans les monotraces font qu'on prend le temps de souffler pour mieux repartir ensuite mais doubler sur ces monotraces sinueuses dans la forêt n'est pas aisé !

On continuera ce genre de difficulté jusqu'au bout pour y trouver notre plus grand plaisir : l'arrivée. Celle-ci est franchie au terme d'1 h 38' 42" pour Muriel, je suis 2 mn derrière en 1 h 40' 42" suivi de Jean Pierre en 1 h 42' 52". Catherine et Valérie finiront pratiquement main dans la main en 1 h 52' 48". Bravo spécial à Catherine qui, malgré sa douleur au genou, a résisté jusqu'au bout avec le sourire !
Une soupe chaude nous attend au ravito et le vent glacial ne s'étant pas calmé, nous n'y resterons pas longtemps.

En résumé court, ce fut une très belle sortie...
RDV à Magné pour la dernière de l'année.

Corrida de la Crèche par Serge MIHALA (Décembre 2016)

Dimanche c'était la 40ème Corrida de la Crèche.

Quelques uns d'entre nous ont participé. Christine LARGEAU Catherine RAVELEAU Stéphane BRUNET Thomas JACQUES et moi.

A l'organisation du SPIRIDON nos deux MARSAULT Christine et François Michel CROCHARD (notre paparasi) qui comme à son habitude a dû "flasher" tous les coureurs, Gérard BOUROLLEAU.

Le départ a été donné vers 10h05, la météo était au top pour celles et ceux qui aiment le froid et ne pas trop transpirer !!! Heureusement en attendant le top du départ, dans le "troupeau"

Il y a l'ambiance et la chaleur humaine qui réchauffent. Pour ma part j'avais décidé de courir le 10km avec notre grande Christine. Entre "éclopés" on se soutien. Depuis 2 semaines pour ce qui me concerne petits soucis de tendons d'achille.

La semaine précédente je m'étais mis au repos complet et n'ai pas couru du tout ni trop marché. Aussi, malgré une petite gêne je décidais de participer quand même.
Et c'est au 4ème km que la douleur est revenue. Malgré tout j'ai essayé de gérer jusqu'au bout et m'accrochait à la foulée de Christine,mais les quelques petites côtes eurent raison de mon sacrifice et sur les derniers 800m je vis Christine me "débarquer"... et plusieurs me doubler lâchement. Bon j'ai quand même mis moins d'1h ....

Comme je "reboitte" malgré l'application de froid et la pommade ..je n'ai surtout pas droit au faux pas sans quoi la douleur se rappelle à moi. J'aurais dû courir le 4,5 km..

Maintenant j'ai rendez vous au médecin du sport le ....19 janvier ! et oui je ne suis pas Polnareff, il faut attendre son tour.

C'est dommage car c'est une course, que comme moi, beaucoup apprécie. Nous avions dans notre sac,remis avec le dossard, le bonnet rouge habituel et un beau tee shirt à manche longue
bien chaud et apprécié vu la température.

Superbe circuit. Si, j'ai entendu des coureurs qui disaient à l'arrivée, sûrement leur première participation, "le parcours est plus beau qu'à Magné".

Pour ma part je dirais que Magné est différent, à mon sens. Il y a peut-être moins de chemins et le passage dans les lotissements moins agréable que le vieux bourg de la Crèche.
Et puis le départ de la course de moins en moins évident compte tenu du nombre de participants. Mais bon, le principal est que tout le monde s'y retrouve.

D'ailleurs j'y suis inscrit, mais si quelqu'un manque de dossard qu'il me le dise car pour moi c'est cuit.

Je vous souhaite à toutes et à tous de bonnes fêtes de fin d'année,


Marathon de la Rochelle par Valérie LENNE (Décembre 2016)

Voilà j'ai réussi à mettre en forme ce compte rendu, j'ai la chance d'avoir eu plein de photographe sur la route ;) heureusement car impossible de voir la photo de l'arrivée :(

http://turtle-island-2.overblog.com/2016/12/je-suis-marathonienne.html

Chemins du Poitou Charente par Eric MAHLER (Décembre 2016)

Petit compte rendu de ce week-end (4 décembre) sur les chemins du Poitou Charente.

Pendant que certains tentaient désespérément de se réchauffer dans le vent glacial de Cherveux, 4 membres de l'AMCF se retrouvaient à Saint Palais sur Mer où la température était plus douce (3° à 8 h 30) sous un ciel bleu.

Pour la bonne cause, téléthon oblige, 2 couples étaient engagés sur les 2 distances du trail Entre Sable et Forêt, Catherine (malgré sa douleur persistante au genou) et Jean-Claude Rapin sur le 14 km, Muriel et Eric Mahler sur le 21.

Les 7 premiers kilos sont communs aux 2 distances, puis ensuite une boucle de 7 km pour le 21 avant de revenir au point de séparation du 7ème pour attaquer les 7 derniers kilos qui sont aussi communs aux deux distances.

Les 3 premiers kilos se font sur du plat, histoire de s'échauffer, puis l'entrée dans la forêt nous montre que la côte sauvage n'est pas aussi plate qu'on pourrait le croire. Le parcours est parsemé d'embûches telles que les racines ou autres sapinettes cachées sous le sable, troncs d'arbres en travers du passage, des dunes comme des murs, du sable parfois glissant, bref toute la panoplie d'un vrai trail dans du sable !

La ligne d'arrivée est franchie, presque comme une délivrance, dans l'ordre et à 30/40 secondes d'intervalle par Catherine et Jean-Claude en 1h41'59", puis Muriel en 2h12'44" et enfin Eric en 2h13'32".

Afin de détendre nos muscles mis à rude épreuve, la journée se termine par une ballade en bord de mer puisque le soleil est présent et que la température est agréable.