jeudi 22 octobre 2009

Coulée verte 2009

Quelques photos des diverses équipes qui portaient les couleurs du Groupe MACIF.

L'équipe Macif - Semi









L'équipe Macif - 7 km









L'équipe Mutavie









Et encore

lundi 24 août 2009

6000D par Damien REVAULT



La 6000D (25/07) était bien longue quant à elle … presque 9h30 pour boucler les 60 km ! Je termine beaucoup moins bien classé que dans mes deux précédents trails (422 sur 781 à l’arrivée sur 853 au départ), là c’était vraiment autre chose (en hauteur et en longueur). P
Pourtant le temps était idéal, avec un beau soleil toute la journée, on a pas eu froid même en T-shirt à 3000 m, ça faisait ça de moins à gérer.

En fait on a beaucoup marché, et les bâtons que j’ai acheté la veille ne m’ont pas été utiles car interdit sur la classique (autorisés seulement sur l’ultra de 110 km).

L’arrivée au glacier de Bellecote est très laborieuse, pas de chemin, il faut grimper une pente faite de cailloux, en choisissant sa technique … j’ai testé pour ma part la grosse crampe au mollet qui fait atterrir et glisser les fesses sur les pierres, sympa ! Enfin on est heureux d’y arriver là haut, l’ascension est tellement longue et ces dernières pentes tellement hallucinantes qu’on se dit qu’on peut savourer notre plaisir.

Tout début de descente sur la neige, ça glisse forcément et le grand écart, ça déclenche de belle crampes, un vrai bonheur ! Ensuite la première vraie bonne descente fut un plaisir, jusqu’à ce que ça remonte sérieusement de 300 à 400 m pour aller au col de l’Arpette. Mais les 1700 m de pente qui suivent ont été vraiment douloureux, dommage, il restait 21 km, et c’est surement là que ça se joue pour faire une perf, j’ai perdu beaucoup de places, craignant pour ma pseudo tendinite héritée d’Espelette (qui n’en était pas une selon la kiné de la 6000D … bref mon ostéopathe a l’air d’avoir résolu la question).

En définitive, j’ai appris que la montagne, ça ne s’improvise, pas, et qu’une préparation « en montagne » est certainement très utile. Pour ça Espelette était très bien placée, 20 jours plus tôt, mais peut-être pas assez haut, il paraît que les montagnards on 20 % de globules rouges en plus !!

Rien à dire sur l’organisation, tout est parfaitement géré, le départ, l’arrivée, les ravitaillements, les kinés, les douches. A part la récompense, une flasque estampillée 6000D, que je n’ai d’ailleurs pas eu.

lundi 20 juillet 2009

Résultats Espelette

Sur la course des 14 km

ANDRECK Gérard : 1H24'17" (6e V3)
ANDRECK Mathias : 1H23'12"
BOS Fabrice : 1H34'37"

Sur la course des 19 km

VAQUIER Eric : 2H43'56" (836ème)

Sur la course des 27 km

VANNIER Valérie : 3H20'24" (811ème - 36ème V1)
VANNIER Christian : 3H20'29" (813ème)
MARSAULT Christine : 3H38'13" (915ème - 50ème V1)
MARSAULT François : 2H22'54" (73ème - 10ème V2)
MAUFFRET Clothilde : 3H34'02" (901ème - 32ème S)
BEGOUT Patrick : 2H57'26" (205ème)
MIHALA Serge : 3H18'36" (773ème)
REVAULT Damien : 2H33'58" (193ème)

Les photos depuis le site d'Espelette sont

Espelette par Serge MIHALA

Et voilà on en parlait .....c'est fait. Etant en congés, je suis arrivé le jeudi à Espelette. Le temps était orageux et lourd. On a fait un repérage de la ville. Le vendredi le matin, il pleut, aussi j'en profite pour aller faire un tour à St Jean Pied de Port. L'après-midi il fait soleil et même chaud, je vais chercher les dossards.
Le soir, le groupe Amcf s'est retrouvé à la paillotte "Bahia beach" à Bidart pour le dîner. Très bonne cuisine, on s'est régalé et on a eu droit au coucher de soleil sur la mer en direct. Ensuite on est tous rentrés dormir à l'hôtel Bergara à Souraïde situé à 3km d'Espelette.

Samedi matin, retour à Espelette pour voir les stands (uniquement Adidas). Il y avait également un stand pour la Pastourelle à Salers et un pour les gendarmes et les voleurs de temps à Ambazac. Je vais ensuite réserver la table pour notre groupe en vue de la fiesta du soir. On était 20. avec les conjoints.

Mais avant bien sûr la course.
Je ne pourrais vous parler en "connaissance de cause" que du 27 km.

Un quart d'heure avant le départ qui avait lieu à 15h30, on se place sur la ligne de départ. Que de monde, qu'elle ambiance. Nos collègues qui "démarrent" à 15h45 et 16h font partie de nos supporters. La météo est idéale, temps gris mais pas de pluie température douce. A un moment je me demande même s'il ne fera pas frisquet tout là haut.

15h30 c'est parti. Je compte faire un temps minimum de 3h30 même si je me suis entrainé spécifiquement sur ce type de dénivelé pendant mes vacances, 2 semaines au mois de juin .....(commençait à être temps) .
Les premiers km se passent sur le bitume, au bout d'un moment j'en arrive à me demander si c'est bien un trail......puis enfin on aborde les sentiers qui montent, qui montent.... J'en arrive à regretter le plat bitume.....çà monte tout le temps, normal c'est la montagne. On n'en voit pas le bout et surtout la cime. On traverse une première couche de brumes puis en levant le nez on en voit une seconde plus loin ..... plus haut.... mais pas le sommet.

Enfin , on attaque la dernière couche et on voit le sommet du col du Mandarin...ils ne restent que quelques mètres que l'on gravit pratiquement autant avec les mains qu'avec les pieds, c'est raide, c'est de l'escalade !!! Là haut, c'est un vrai comité d'accueil çà grouille de bénévoles ils nous réchauffent le cœur, mais on ne s'attarde pas car il fait pas chaud.
Cela fait un peu plus d'une heure que je coure et j'arrive au km 6,5.....bof reste que 20,5 km

Il restera 2 cols à gravir. A un moment au retour d'une boucle on se retrouve avec les coureurs du 19 km pour faire quelques km du circuit ensemble. On se séparera un peu plus loin (pour le 27 on a notre 3ème col) pour se retrouver jusqu'à l'arrivée.

Retour et arrivée dans la ville où déjà l'activité touristique a repris et les derniers coureurs sont presque oubliés.....

A 21h/21h30 environ on se retrouve tous pour la grosse fiesta sous le chapiteau 3000 convives quand même !!!!. On remarque au passage que certain(e)s n'ont pas tout "donné" dans la course. On a bien mangé même si au dernier moment ils ont remplacé le canard par du poulet .....pour cause de tempête de ce début d'année !!!

Voilà, je recommande cette manifestation car il y a plusieurs distances possibles ainsi que des randonnées pédestres voire équestres et puis le soir la 3ème mi-temps mérite d'être vécue au moins une fois.....

Beaux circuits, super ambiance. On a eu la chance de ne pas avoir la canicule des semaines précédentes.

Maintenant on réfléchit pour l'année prochaine car déjà ce 4 juillet beaucoup sont en vacances.
Un trail et puis un petit Médoc, en septembre, car c'est sur cette manifestation que l'on a toujours rassemblé le plus de monde....avec petit dîner surprise le soir du marathon à St Sauveur pour celles et ceux qui connaissent.

Je conseille toujours et encore Marvejols/Mende (fin juillet hélas)car la fiesta le soir c'est aussi quelque chose !!!!! c'est 23km avec 2 cols....

mercredi 8 juillet 2009

24h00 d'Antibes - Patrick PAYA

Les coureurs de l’ultra avaient rendez vous ce weekend à Antibes pour faire soit les 6 jours -soit les 48h00 et soit les 24h00.

Pour la première fois j’ai pris le départ d une course horaire, c’était mon premier 24h00.

Sur une boucle de 1km500 autour du stade et du Fort carré à Antibes

Nous étions une cinquantaine pour les 24h00. Le départ fut donné à 16h00 le vendredi 12 juin sous une température de plus de 30°c. D’entrée, je m’obligeais à faire du 7 à 8 km/h et il fallait tourner, tourner, courir et courir.

Ravitaillement à chaque tour donc pas la peine de porter des sacs, des pochettes, des gourdes. On avait même un coin pour nous, pour mettre notre propre ravitaillement.

J’étais le seul régional, sinon les gens venaient de partout ; Espagne, Italie, Amérique, Belgique, etc., etc.

Vivement la nuit, et c’était là qu’on courait le mieux. Température de 20°, fallait tenir et c’est aux alentours de la 13eme heure de course, c’est à dire à 5h du matin que je passais le cap des 100 bornes.

C’était un moment merveilleux, très fort en soi, même inoubliable : passer le cap des 100 bornes pour la première fois.

Je changeais de chaussures et de chaussettes avec massage anti frottement toutes les 4 heures. Rien de spécial, pas d’ampoules, pas de contractures, pas de fatigue. Faut dire qu’à chaque tour, je prenais un verre de coca avec de l’eau.

Des collègues de mon club Asoa Antibes, de mon travail, des amis sont venus m’encourager pendant ces 24h00, voire même faire quelques tours avec moi. C’était sympa.

8h00 du matin. Le soleil réchauffe et les foulées sont de plus en plus rasantes. Je commence à sentir des douleurs au genou droit : tendinite ou pas ????

J’alterne entre course pendant 4 kms et marche sur 1 km tout en buvant. Objectif de faire 3 marathons en 24h00. C’est fait car je franchis les 128 kms vers les 10h00.
Il fait de plus en plus chaud. Je suis 7eme au classement et il faut tenir. Je vais voir le kiné qui est sur place pour mon genou.

12h00, tout en marchant je mange ma purée jambon, mais mes douleurs sont de plus en plus fortes. J’essaye de tenir car je vois que mes concurrents directs sont au même rythme. 22h00 de course. Il est 14h00 de l’après midi. C’est la canicule. Epaules en feu. Je suis toujours 7eme avec 145 kms. Je retourne voir le kiné. Après une bonne demi-heure, il me conseille d arrêter sinon de marcher la dernière heure pour faire 2 ou 3 kms.

Je préfère jeter l’éponge avec 145 kms dans les jambes, et pour 3 petits kms je perds 2 places et me retrouve 9eme au final.

Le premier est un italien avec 207 kms.

En tous cas j’ai passé un moment merveilleux, milieu où la joie et la douleur règnent.

Refaire cette course, pourquoi pas, mais avant j’ai la montée du col de la Bonette dans 1 mois et demi, et d’ici là, récup et kiné.

mardi 7 juillet 2009

Aubrac aventure trail 2009 - Christian VANNIER

Malgré une fin de course douloureuse l'année dernière (genou), j'avais décidé de remettre ça cette année.

Valérie est inscrite sur le Trail des Capucins (21km) et moi sur le 85km (3200m D+).
Nous arrivons donc sur place Valérie, nos amis du club et moi le vendredi en fin d'après midi. Installation à hôtel et puis nous allons retirer nos dossards.
Nous allons ensuite manger et puis nous couchons vers 23h00 car nous devons nous lever un ami et moi à 2h30 pour prendre le départ à 4h00.

Après avoir pris notre petit déjeuner, nous nous rendons sur la ligne de départ bien couvert car il ne fait que 4°.
4h00, départ en musique et à la frontale pour les 385 coureurs.
Le terrain est sec mis à part quelques bourbiers dans les sous bois et dans le alpages, cela me coûte d'ailleurs la perte d'une chaussure que j'avais mal serrée.
J'arrive au ravito du 23em km avec un groupe d'une dizaine de coureur en 2h30.

Au 25èm km, nous entamons ascension d'une piste de ski qui me semble interminable.
A partir du 35èm, j'attend avec impatience le ravitaillement du 42èm km, j'ai faim.
Jusqu'au ravito du 55ème, tout ce passe a peu près bien mais je sais qu'ensuite nous attaquons la partie la plus dure de la course avec 10km de montée.

J'arrive au dernier ravitaillement du 66èm km fatigué mais il ne reste plus que 18km avant d'arriver.
J'avais juste oublié la bosse à 5km de l'arrivée et ses 100m de dénivelé.
Une fois la bosse passée, je retrouve un peu d'énergie pour finir avec un ami qui m'attendait à deux km de l'arrivée.

J'en termine donc en 13h44, en bon état et 51mn de moins que l'année dernière. J'apprendrais après l'arrivée que les 23 premiers km avaient été modifié pour durcie la course.

Prochain rdv, le Mont Blanc fin août pour 98km.................

mardi 26 mai 2009

Maratgon de Blaye - Christine MARSAULT

Nous avions choisi, avec mon autre club du Spiridon Crèchois, de faire notre sortie annuelle pour le week-end prolongé du 8 mai au Marathon de BLAYE.
L'association bordelaise, créée grâce à l'engagement d'un viticulteur passionné de course à pied, M. Jany HAURE, avait décidé d'apporter quelques modifications pour cette 6ème édition : départ le samedi et circuit en sens inverse aux années précédentes.
Nous sommes partis le vendredi après-midi pour arriver au Château de Bone à GAURIAC où Mme JAUBERT nous a accueillis comme en famille. Tout un étage nous était réservé, ainsi que la cuisine pour le dîner où chacun d'entre nous avait préparé un plat.

Après une nuit pluvieuse (qui a inquiété les organisateurs), un bon petit déjeuner, une photo de groupe, nous voilà partis pour prendre le départ qui est donné de la Citadelle de BLAYE. Et là, heureusement, la météo a bien voulu être des nôtres.
Beaucoup de coureurs étaient costumés (220 sur 521 inscrits), ce qui rend ce marathon festif.
Nous avions décidé de nous déguiser en pirates pour nous permettre de courir à l'aise !... Façon de dire car, au bout de quelques kilomètres, on commence à sentir la lourdeur des jambes, surtout que les ravitaillements sont tous les 2 kilomètres. Pas besoin de vous dire que certains n'ont pas résisté à la dégustation !...

Le parcours est également très sélectif (ça n'est pas pour rien que la région s'appelle "Les Côtes de BLAYE ou de BOURG"), mais l'accueil chaleureux dans chaque village et propriétés viticoles traversés, nous encourageait à poursuivre la course.
Les deux derniers kilomètres sont particulièrement longs avec quelques marches à monter dans la Citadelle, mais les encouragements nous permettent de terminer avec une dernière côte, et une arrivée sur tapis rouge, s'il vous plait ...
A l'arrivée, un plateau repas avec des huîtres va nous permettre une remise en forme.

Le lendemain, une ballade à la Citadelle commentée par un historien et, pour finir, une visite avec dégustation au Château "Le Cone" suivie d'un repas. La coïncidence est que la cuvée de ce viticulteur est appelée "Château du Roy", en rappel avec l'organisation de notre course des "Chemins du Roy" à Sainte-Néomaye (qui va se dérouler cette année le 5 juillet). Un achat de quelques bouteilles s'imposait !

Un week-end qui restera gravé dans nos mémoires tellement l'ambiance était sympathique. A mon goût, mieux qu'au Médoc, car moins grandiose et plus conviviale.
Je pense que la notoriété de cette course n'a pas fini de s'amplifier.

Les résultats : 1er - FERREIRA Manuel en 2H46'30 (V1)
1ère féminine - GABRIEL Christelle en 3H08'53 (S)
258ème - Ma pomme en 4H22'40 (12e V1)
289ème - Mon homme en 4H32'40 (61e V2)
Pour une fois, mon homme était derrière, mais vous avez compris pourquoi

mardi 5 mai 2009

Marathon de Nantes - Frédéric BRUNO

Dimanche 19 avril, la ville de Nantes se réveille dans la grisaille et sous une pluie fine.

A 8h j'arrive sur le lieu de départ du marathon de Nantes, un hangar, un éléphant (grosse bête mécanique). Je suis vêtu d'un sac poubelle pour me protéger.

les minutes passent, quelques petites longueurs.. deux ..trois puis quatre gorgées d'eau. la pression monte, cette année 600 coureurs de plus soit environ 2160 au départ.


Cette année, j'avais décide en accord avec mes jambes de suivre du début à la fin le ballon des 3h.

Au départ, je me suis donc mis juste derrière. La tête a suivi, les jambes aussi. La pluie m'a accompagné tout au long de mon périple... et au bout 2h59m24.

j'ai eu droit à la bise et à la médaille....ben ! voila ma course.

jeudi 16 avril 2009

Trail des Citadelles - Christian VANNIER



Me voici rentré de l'Ariège avec quelques courbatures.

Ce fut un week-end pluvieux.
Nous sommes partis samedi matin sous la pluie et il n'a pas arrêté de pleuvoir jusqu'au dimanche soir.
Dimanche levé à 6h15 pour prendre notre petit déjà et prendre la route vers Lavelanet, départ de la course à une cinquantaine de kilomètres.
Nous arrivons sur place à peine 3 minutes avant le départ.
Et c'est parti pour 40KM sous la pluie.........

Nous finissons la première grosse ascension vers la citadelle de Montségur (9ème km) sous la neige et il faut faire attention car la montée et la descente se font par le même sentier.
Nous attaquons ensuite la descente vers le 1er ravito (14em kilo), pour le moment les chemins sont boueux mais encore praticables.
Par contre ensuite les flaques d'eaux et de boues se succèdent, il est quasiment impossible de courir dans certaines descentes et même les ascensions sont rendues glissantes par la boue qui dévale les pentes.

Nous arrivons ensuite au château de Roquefixade, le vent souffle et il fait plus que frais.
Ensuite nous attaquons une longue descente toujours aussi glissante vers le second ravito (j'aurais dû amener mes skis).
Encore deux ascensions et se sera l'arrivée mais la dernière montée à 20% environ me semble bien longue.
Après une chemin de crête rocailleux, dernière descente et dernières chutes (5 au total) c'est l'arrivée après 6h30 de course (photo jointe avec profil de la course).
Malgré les difficultés, je pense revenir pour tenter le 73km cette fois ci.

Chapeau aux bénévoles et à l'organisation pour la qualité de accueil (un seul bémol, m'être égaré à une intersection pas assez balisée).
Une course que je conseilel à ceux qui aiment courir en pleine nature.

Trail des Citadelles - Joël POTIRON

Avec Bernard GERMAIN, nous avons participé également au Trail des Citadelles; nous avons échangé avec Valérie VANNIER (qui a participé au 20 km) à l'arrivée mais nous n'avons pas vu Christian (certainement pressé d'aller à la douche...).

Effectivement le 10ème anniversaire du Trail des Citadelles fut beaucoup trop arrosé....
Nous sommes arrivés en ARIEGE le vendredi soir dans un hébergement situé à 8 km de LAVELANET et après un samedi entièrement pluvieux on savait que le terrain allait être très gras.
Un départ avec la pluie et une température de 4° ne nous laisse pas beaucoup d'alternative sur l'équipement à prendre.

Dans la montée au Château de Montségur (1200 m) on a la neige à partir de 1000m mais la descente se passe plutôt bien, même si montée et descente sont faites par le même sentier qui est pentu mais praticable car aménagé avec des marches en pierre;

Ensuite hormis qq passages en sous bois, tous les chemins sont boueux au maximum avec effectivement certaines ascensions où la boue dévale les pentes; nous sommes constamment en recherche d'appuis sur les montées et en majeure partie "glissade" sur les descentes raides....

La montée vers le Château de ROQUEFIXADE se déroule jusqu'à une erreur de parcours (je suppose la même que signale Christian) où nous avons descendu complètement un sentier et débouché sur un chemin où aucun balisage n'était présent, nous avons donc remonté le même sentier, arrêté environ 25 autres coureurs avant de retrouver le balisage qui sur ce point de passage précis était insuffisant => bilan de l'erreur de parcours = 20' ......

Après plusieurs belles "gamelles" de mon copain Bernard que j'ai apprécié en direct (mais il était absolument impossible de ne pas tomber durant ce trail) , on se retrouve au ravito du 29ème km où on sait qu'il reste 2 grosses difficultés avant l'arrivée.

On repart du ravito en "empruntant" un chemin qui durant 500 m ressemble à un petit ruisseau....mais à ce stade, les pieds trempés et boueux ne sont plus un évènement....on gère nos descentes en alternant course, glissade, recherche d'équilibre....
Après le passage des dernières difficultés, la dernière descente très pentue permet d'entretenir notre entrainement sur les chutes...et nous bouclons ce trail en 6h46'.

Nous avons participé à une quinzaine de trails mais jamais ds les conditions de dimanche dernier qui ont fait que l'édition 2009 a été considérée (par les organisateurs) plus dure que l'édition 2008 qui s'était déroulé sous la neige (le vainqueur du 40 km a mis 42' de plus que l'an dernier)
Après la récupération, nous allons penser au prochain qui devrait être le trail du Pertuis (Ile Oléron)....

Course d'Usseau - Serge MIHALA

Samedi donc, nous étions 8 coureuses et coureurs "Macif" à participer au 10km700 d'USSEAU.

C'était une 1ère, aussi, lorsque la veille les organisateurs ne comptabilisèrent que 30 inscrits...ils eurent quelques craintes.

Heureusement le lendemain, jour de l'épreuve 100 inscrits supplémentaires sont venus compléter la liste.

Départ 14h45 pour la course enfants....c'est aussi important car c'est la relève pour demain.
puis
Départ 15h30 pour un circuit en forme de 8, uniquement sur route. Température idéale même si le soleil n'était pas au rendez vous....et surtout la pluie, abondante le matin, s'était abstenue...

Tout au long du parcours des supporters. On traversera 3 petits villages et 2 fois le petit bourg d'Usseau. On était vraiment à la campagne. La vraie, celle avec ses odeurs naturelles !!! on est dans les champs. Seul le ciel était triste. Beaucoup de faux plats et de relances. Pour ma part, j'ai pu m'assurer un temps honorable pour ma 1ère course de l'année, puisque j'ai dû faire un chrono de 51'20 environ....c'est 10km 700 et pas 10...presque 11 !!!

A la remise des prix, ambiance "village". Pas de gros sous à gagner (donc pas de kenyans...) coupe vent pour les premiers. Au tirage des dossards, le gros lot un VTT, mais aussi 1 micro-onde, coupe vent (pour moi) pourtant je "visais" la cagette de salades, jambon, ... des laisser passer pour 2 entrées au Futuroscope et.... le plus drôle 2 bons pour une coupe de cheveux....l'un était chauve et l'autre sortait de chez le coiffeur il avait "la boule à ras"....et enfin trophée au meilleur déguisement.

J'espère pouvoir la refaire l'année prochaine, car ces petites courses ont une âme. Mi-avril on a eu le temps de s'entraîner un peu......et en plus on a eu deux jours pour récupérer. Le circuit est plaisant. Les habitants "supporters bénévoles" authentiques et sympathiques...L'organisation irréprochable.

Un seul (petit) reproche, compte tenu de la situation géographique un peu de sentiers ou chemins de terre auraient apportés un petit plus.
Demain je vous ferais suivre l'article du journal.

Pour ma part j'ai appris l'existence de cette course par un copain de mon fils Rodolphe Pelletier dont les parents habitent Usseau.
L'année prochaine on sera au moins ...130 à la promouvoir.

Course nature de Fressines le 1er Mai






Course nature de Fressines, organisée par Sport Attitude (Mous NAKIB)
5 imp du lison
79370 FRESSINES
06 47 26 33 96

7 ou 15 km
Dossards : de 08:00 à 09:15 salle des fêtes de Fressines départ 09:30

Sur routes campagnardes et chemins

Remise des prix à partir de 11:45 salle des fêtes tarif : 5 € (+1,5 le jour mm)

Bulletins d'inscription à demander chez Sport Attitude ou à récupérer soit au
1214 soit à l'ASPTT

dimanche 5 avril 2009

Ecotrail IDF du 14 mars 2009 par Damien REVAULT

Je ne regrette pas du tout mon inscription à l’Ecotrail, une distance nouvelle pour moi qui m’a permis de découvrir de nouvelles sensations …

Alors que mes 2 derniers marathons me conduisaient à finir lamentablement en marchant et dans la souffrance (avec notamment le mémorable La Baule 2008), j’ai décidé de varier les plaisirs avec une année trail.

Beaucoup de chance dans cette course, tout d’abord pour mon inscription, tirée au sort parmi 250 retardataires, et aussi pour être arrivé au bout de ces 80 km …

J’ai vraiment retrouvé les sensations de mes premiers semi, quand j’ignorais ce que ça donnerait après 10 km, sauf que là c’était un peu plus long.

Départ à 12h sous un temps plutôt clément avec 13 degrés sans soleil, je suis peut-être parti un peu vite avec une première partie assez roulante, j’ai même eu un peu chaud, alors que ce n'était pas forcément le cas à l'entrainement … A moins que ce ne soit mon sac trop chargé avec tous les sandwichs et l’eau que j’avais emporté. Bon, l’eau on était obligé d’avoir 2 litres mini, mais pour la nourriture j’ai misé sur le plaisir des papilles pour pouvoir continuer à manger après plusieurs heures, alors je me suis fait 7 sandwichs de charcuterie et pate à tartiner, un peu lourd et pas seulement pour les épaules …

Le premier ravitaillement à 21 km est arrivé assez vite, je n’avais presque pas utilisé mes réserves juste un sandwich jambon-beurre et un peu d’eau de mon camel back que j’ai fait remplir. Je ne me suis pas attardé, plutôt en forme après ces 1h53 d’échauffement …

J’aurais peut-être mieux fais de m’arrêter un peu plus, ou bien de ralentir un peu plus tôt, ou encore de prévoir autre chose que la charcuterie … bref, les douleurs musculaires sont arrivée assez vite, vers les 3 heures, et le 2 ème ravitaillement ( au 50 ème ) s’est fait attendre, ma réserve d’eau pure de 1l étant épuisée, j’ai du taper dans mes gourdes (eau+sucre).
J’ai donc pris plus de temps pour m’arrêter, mais par contre le buffet ne m’a pas franchement attiré, et mes sandwichs non plus, donc pas de gros repas, pas de fringale non plus ou de signe d’hypoglycémie, je repars donc vers l’inconnu ...

… J’ai commencé à voir quelques abandons, notamment ce type qui me paraissait plutôt bien portant mais complètement écœuré, il ne cherchait qu’une chose, la gare la plus proche, impossible de le motiver pour continuer, ni même pour discuter, il a sauté sur le premier bus qui arrivait, l’air de dire "il faut que je parte à tout pris de cette course !"

A partir de là j’ai réalisé que j’avais encore de la chance, les douleurs n’étaient pas seulement dans les jambes, mais aussi aux épaules, et aux pieds, ratatinés au bout des chaussures dans les descentes … Je n’arrivais pas à déterminer ce qui me gênais le plus, gros avantage, je n’ai donc pas focalisé sur un point précis … la diversification de la douleur, un bon "truc" !

Le 63 ème km fut bien long à terminer, pour arriver au ravitaillement du Haras de Jardy il fallait faire un demi tour de piste … c’est bien long de courir dans un espace vide, au moins dans les sentiers, on ne voit pas ce qui reste à faire …. Très bon ravitaillement néanmoins, ambiance conviviale et nourriture variée, j’ai pris un premier thé, les températures baissant avec la tombée du jour, c’était bien agréable.

Encore 7 km pour aller au prochain ravitaillement, ils étaient bien long ceux là aussi, la représentation que l’on s’en fait à l’entrainement, même après une sortie longue de 3h, c’est que c’est tout fait réalisable/court/facile, mais là j’avais quand même plus de 6 heures de course dans les jambes. Mais bon, c’était l’objectif « libérateur », qui annonçait la descente vers Paris et son sol plat jusqu’à la Tour Eiffel.
Dans ces moment là c’est sympa de pouvoir discuter, et là j’ai eu la chance de courir aux côtés d’un Italien jusqu’au parc de St Cloud, la discussion fut donc assez riche …

Ce dernier ravitaillement dans les hauteur du Parc de St Cloud m’a permis de goûter une bonne soupe de vermicelle et de reprendre du thé. Brassard et lampe frontale de rigueur, la nuit est tombée. Je ne refais pas l’explication : 10 km c’est court mais là c’était long …

Sauf à l’arrivée dans les 50 derniers mètre avant l’ascension de la Tour Eiffel, avec les acclamations de la foule en délire (enfin, après toutes ces heures en forêt ça faisait un peu cette impression), les jambes son revenues, tout d’abord stoppées dans leur élan pour la fouille des sacs à dos (au cas ou un kamikaze se serait tapé 80 bornes …), mais une pointe d’orgueil fait ensuite réaliser qu’il y a peut-être des places à prendre ou à perdre dans ces foutues marche alors c’est partie j’accélère et avale les marches, jusqu’à ce que ce concurrent qui marchait en s’accrochant à la rampe à tout à coup (c’est bizarre) décidé de marcher sur une largeur de 1 mètre, jouant des coude ( et même des genoux sans exagérer), c’en était trop, j’ai finis en marchant.

A l’arrivée, T-shirt, bière et cola, le grand luxe au 1 er étage de la Tour Eiffel, et 5 sandwichs à manger !!

2 jours de fortes courbatures et 12 jours plus tard, je me sens parfaitement motivé pour les crêtes d’Espelette le 4 juillet, ma première participation avec le maillot AMCF, et ensuite la 6000D le 25 juillet, qui doit aussi être assez particulière dans son genre.


Je ne regarderais jamais plus les distances et les chronos de la même façon …

mercredi 18 mars 2009

Semi La Rochelle - Philippe NACCACHE

Dimanche dernier 08/03, pour mon deuxième test de forme de début de saison j'avais choisi le traditionnel semi marathon de la Rochelle, qu'il est inutile de présenter je pense.
Le parcours 100% bitume n'a pas changé, 2 boucles toujours dans la ville et retour par le bord de mer. La principale difficulté est, de l'avis général, le long faux plat de l'avenue du Mail surtout au 3e passage avant de rejoindre le stade Bouffénie pour finir sur la piste d'athlé.

Cette année, on avait droit aussi à un vent d'ouest assez persistant voire gênant.
Sur certaines portions de lignes droites dégagées, il fallait courir autant que possible au sein d'un groupe pour garder de l'énergie.
Ceci dit, avec une température très douce de 12° et surtout l'absence de pluie, on n'allait pas se plaindre ... vive La Rochelle et son micro climat !
Voilà, je crois qu'on était environ 1200 au départ et comme cette année aucun kényan n'était venu, c'est un Marocain MAROUFI Mounir qui remporte l'épreuve dans le temps très moyen (pour les pros bien sûr) de 1h11'44.

Pour moi, le parcours est bouclé en 1h32'19 et par rapport à mon dernier semi couru ici en 2007, j'améliore mon temps de 3mn.
Donc très très content car auparavant je n'avais pas réussi à casser la barre des 1h35.

Mais au-delà de la satisfaction liée à ce résultat, je tiens à souligner que depuis le début de l'année j'ai choisi de courir avec des bas de contention et pour ceux qui en douteraient encore, je confirme que ce type d'accessoires apporte un bénéfice indéniable.

Contrairement à "avant", j'ai pu conserver jusqu'à l'arrivée ma vitesse moyenne de course qui s'était stabilisée à 13.7 km/h à partir du 15e km. Et le phénomène de jambes lourdes est beaucoup moins perceptible.
Alors, bien sûr on a toujours quelques courbatures après la course et puis
45 Euros cela peut paraitre excessif pour une paire de chaussettes, mais je ne regrette pas un seul instant cet investissement !

mardi 3 mars 2009

10 km FFA Aigrefeuille d'Aunis - Philippe NACCACHE

Première compet de l'année, c'était dimanche dernier (15/02) un 10 km FFA à Aigrefeuille d'Aunis, petit bourg de Charente Maritime, entre Surgères et La Rochelle (45 mn en voiture depuis Niort).

Il faisait tellement froid que j'ai failli retourner au lit : le thermomètre de la voiture reste obstinément sur -2° C en arrivant sur place à 9h, mais heureusement c'est avec du soleil et un vent faible, somme toute des conditions pas si mauvaises pour débuter la saison.

Nous sommes 500 inscrits au départ, et il semble que plusieurs coureurs Niortais des différents clubs ont fait le déplacement.
Après remise du dossard à la salle des fêtes , retour à la voiture pour enlever les 4 couches de vêtements et enfiler la tenue de course afin de commencer l'échauffement.

Moins de 10 mn avant le départ, je reviens dans la rue devant la salle des fêtes, il y a une arche gonflable mais apparemment celle-ci c'est l'arche d'ARRIVEE, d'ailleurs le speaker est déjà là !
Comme beaucoup d'autres (sans doute aussi endormis ... ou congelés !), je n'ai pas réalisé sur l'affiche que le départ était bien décalé à l'entrée du bourg, donc il faut commencer par cavaler 500 m, ça fera une bonne fin d'échauffement.
Sur la route, un bénévole nous crie " Vous n'allez pas y arriver, c'est trop tard ... " sympa.

Mais si, finalement tout le monde y arrive, et du coup ça permet de limiter l'incontournable séance de sur-place et ne pas se refroidir.
Le départ est donc donné sur une (trop) petite route de campagne et inévitablement ça frotte pendant près d'1 km mais après c'est tout bon. Bitume plat et rapide jusqu'au 7e km.
Ensuite, un long faux plat fait son apparition en rase campagne et un petit vent contraire nous rappelle que dans cette discipline rien n'est jamais acquis.
Du coup, ma vitesse perso prend un petit coup de mou au 8e kilo, mais globalement ça va je sais pouvoir tenir ce rythme jusqu'au bout avec ce qu'il reste de carburant.

On revient dans le village, et un bénévole nous crie déjà "Arrivée à 200 m !"
Bon, alors c'est trop tard pour se faire un petit sprint explosif final, étant plutôt de ceux qui accélèrent progressivement 500m avant l'arrivée quand les forces le permettent ...

Finalement, je n'ai pas fait le déplacement pour rien :
41'21, (on ne rit pas !) moi ça me va bien à 45 balais c'est mon nouveau record perso sur 10 bornes.

mercredi 14 janvier 2009

Marathon de la Rochelle 2008 - Serge Mihala

Après 2 ans sans marathon je voulais faire un test en courant celui de Toulouse fin octobre.
Je devais le faire avec des amis. Finalement ils ont choisi de courir Marseille/cassis… je me retournai donc vers celui de La Rochelle.
Après le semi de Niort et l’Ekiden je pensais être en condition. Le dimanche précédent le marathon je me testais sur un circuit d’1h30. La forme n’y était pas et le constat plutôt inquiétant . Toute la semaine ce fût repos. Pas d’entraînement, pas de salle de sport, il est arrivé que cela me réussisse et bien pas là !
Le vendredi je vais à La Rochelle récupérer mon dossard ainsi que ceux de Didier Bigot et de ses amis bordelais….aussi. Le dimanche matin (obligé) j’étais sur place pour leur remettre.
A la sortie du parking couvert, le froid nous saisit. Pour ma part j’ai 1 tee shirt manche courte, 1 manche longue et un 3ème manche courte …le dossard et 1 sac …poubelle au cas ou il pleuvrait, (en attendant il me protège du vent) et puis il a déjà fait Marseille/Cassis !! Je ne le quitterais en fait que quelques km plus loin.
Une heure plus tard on était tous sur nos lignes de départ respectives (Quai Maubec pour les seniors et les V1 et Quai Louis Prunier pour les féminines et les V2 V3 V4. Cà c’est « top » vu le nombre de participants de 8000 maxi on est passé à 8800 inscrits. On se rejoindra environ 4km plus loin.
Ambiance sympa, c’est quand même il faut l’admettre un grand moment. Puis le départ est donné. Bon on verra bien. Je me dis j’y vais cool le but c’est d’aller au bout sans trop de casse. 10ème km je vois le « porteur » du ballon jaune des 3h45 qui me double (j’étais parti un peu vite sans m’en rendre compte). Je n’essaie pas de m’accrocher car il y a de la marge et puis je préfère courir suivant mes sensations.
24ème km petit coup de blues et mal d’estomac, mais comme d’hab je me dit « reste 18km ».
Au 35ème je vois passer le ballon rouge des 4h. Bon là ,« les carottes sont cuites » et moi avec. ..5mn plus tard Jean-Pierre Le Bastard (de la PJ me double) vers le cinéma CGR.
38ème les jambes sont raides, le genoux droit « tire à droite » l’ushio jambier gauche (vielle connaissance) commence à me faire mal. J’avais déjà dû m’arrêter (comme beaucoup d’autres) pour m’étirer.
39ème je marche. Les jambes ne répondent plus. En fait elles ne veulent plus courir… de toutes façon je ne leur laisserais pas le choix elles iront jusqu’au bout… 41ème, je coure à nouveau (en fait j’ai plus l’impression de trottiner) entre temps j’avais remis mon sac poubelle je commençait à me refroidir.
Enfin, j’aborde le dernier virage, j’enlève mon sac poubelle maintenant je peux afficher le logo « Macif amicale » … 42ème 125 je franchis finalement la ligne d’arrivée pour la 7ème fois sur ce marathon de La Rochelle et c’est mon 11ème marathon.
2ème grand moment, quand je récupère la bourriche d’huîtres. Moi je ne les aime pas, mais à « la maison » j’en connais une qui va se régaler et çà c’est le 3ème grand moment !!!

Moralité : bien sûr avec de la volonté on peut, mais pour des distances comme celles du marathon il faut un minimum (mieux maximum) de préparation.
Depuis quelques temps je vis sur l’acquit. Là, j’ai compensé mon manque d’entraînement par des boissons énergétiques qui comme Youcef m’ont retourné l’estomac… et finalement on n’est pas satisfait parce qu’on se fait mal inutilement et que le chrono n’y est pas…Je me suis même juré que ce serait le dernier…..mais çà c’était dimanche et depuis …. je pense au prochain que je ferai ( à condition qu’il puisse être préparé).